EVALUATION-SCANDALE: SELON LE COMMISSAIRE A LA FUSION, LE GICAM VAUT 125 MILLIONS DE FCFA…
Par LCC
C’est Emmanuel Wafo, le PDG de MIT CHIMIE, opposé à la dissolution du GICAM qui l’a révélé au cours d’un point de presse. Il ne joue pas avec les maux » De mon point de vue, cette opération repose sur un tissu de mensonges visant le seul et unique but de brader le patrimoine matériel et immatériel de notre Maison commune, le GICAM » Et l’on apprend de lui que dans le rapport du Commissaire à la fusion ( que l’on dit très proche de Célestin Tawamba) les apports du GICAM dans la nouvelle entité à créer est: 0 FCFA, et la valeur du terrain de 1366 m2 en plein cœur de Bonanjo à 125 000 000 FCFA..Pour ceux qui connaissent cette immeuble, même amorti, donner une valeur de O FCFA à cette bâtisse est inimaginable. Bien plus, 1300 M2 de terrain en plein quartier Bonanjo est moins que de la braderie. Soit. L’on apprend aussi que
que les actifs immatériels du GICAM tels que les productions intellectuelles, les structures d’accompagnement des entreprises et autres ressources générées par ses activités ne soient pas pris en compte dans le rapport d’évaluation rendu par le commissaire à la fusion. C’est comme si tout a été fait pour démontrer qu’en réalité dans cette opération de fusion création, le groupement inter patronal du Cameroun ( GICAM) avec plus d’un demi siècle d’existence n’a rien, absolument rien. Samuel Kondo, André Siaka, Emmanuel Ugolini, André Fotso, n’accepteront jamais une telle négation. » L’entité qui n’apporte rien dans cette opération est bel et bien ECAM. Pas de siège, visible nulle part. Voilà pourquoi ECAM doit simplement rentrer dans le GICAM. C’est inadmissible… » Lancé en colère un adhérent du mouvement. » Avant donc de voter pour la dissolution, les membres doivent savoir qu’ils reconnaissent implicitement que le GICAM n’avait rien, que le GICAM était une coquille vide comme Tawamba et AYANGMA veulent nous présenter. Donc chers membres, rejetez cette fusion… » Ajoute notre source déjà en campagne contre la dissolution du GICAM.
LCC
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