PRÉCISION: SAMUEL ETO’O CONFOND SES DÉTRACTEURS ET RÉTABLIT LA VÉRITÉ ET LA RÉALITÉ…
Par LCC
Ernest Obama, le porte parole de Samuel Eto’o Fils, Président de la FECAFOOT était sur le plateau de Canal 2 hier dans la nuit. Après près de 3 heures d’échanges, et des informations mises à la disposition du public, chacun peut se faire une idée sur le travail qu’abat l’exécutif actuel du football.
Pour ce qui concerne weekinfos.com, certaines révélations faites par l’invité de Mirabeau Mahop, si vérifiées peuvent nous permettre de comprendre que des choses positives sont faites du côté de la FECAFOOT. A la réalité, il faut reconnaître que jusqu’à présent, on s’abreuvait à une seule source: celle des adversaires et autres mécontents de Samuel Eto’o Fils. On ignorait que les fameux contrats réclamés par Njalla Quan Junior était disponible à la FECAFOOT et qu’il fallait juste qu’il aille les consulter au bureau, on ignorait que l’actuel président de la FECAFOOT comme il avait promis ne perçoit aucun salaire à la FECAFOOT encore moins les indemnités de session, que ceux qui en veulent à Samuel Eto’o Fils aujourd’hui sont justement ceux qui espéraient de lui des » passes droit » pour leurs équipes et autres. Mieux, weekinfos.com a eu l’information selon laquelle les fonds fédéraux versés aux clubs de football ( 1 ere, 2 ème et division inférieur) ont pratiquement doublé voir triplé depuis le début de la mandature d’Etoo fils. A la réalité, l’actuel président de la FECAFOOT semble plus futé qu’on ne le pense. Après avoir bien écouté Ernest Obama, l’on se rend vite compte que Samuel Eto’o s’entoure d’une muraille de légalité pour poser ses actes. Il semble même encore plus instruit qu’on ne peut le penser, au regard de cette lettre qu’il envoie à Njalla Quan quelques jours après sa sortie médias.
Dans tous les cas, cette séance d’explication a permis à l’opinion de se faire sa religion sur le management de Samuel Eto’o Fils. Le fond y a été. On peut reprocher des choses sur la forme: Un Mirabeau Mahop pratiquement aux ordres de l’invité » écoutez moi lorsque je parle », ou encore l’absence de relance pertinente ( il aurait demandé à Obama qui a qualifié le voice de Fake sa réaction après la sortie de Eto’o fils dans certains médias européen dans lequel il reconnaît l’authenticité de l’enregistrement). Pour Ernest Obama, rien de nouveau sous le soleil. C’est le pédantisme, sa personne, dont-il est imbu, son orgueil qui ont toujours été ses marques de fabrique. Mais c’est notre Obama et on l’aime comme ça….
Léopold C. Chendjou
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