LA MINISTRE CÉLESTINE K COURTES,  » MASSACRÉE » SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX…

L’artiste Richard Bona en a même fait un son. La phrase  » il y’avait quoi avant » du ministre Courtes à Maroua récemment est devenu l’objet de dérision. Au passage, ce membre du gouvernement très présente sur le terrain des réalisations sociales est insultée, vilipendée, traitée de tous les noms d’oiseaux. Des Camerounais de la diaspora s’en donnent à cœur joie. Pourtant, Célestine K COURTES dans un communiqué s’est défendu en dénonçant l’exploitation malicieuse de ces propos sortis de son contexte par ses adversaires et ennemis politiques. Dans l’entourage du ministre, on préfère relativiser cette séquence  » buzz » et exposer le bilan assez positif de ce ministre pour ce qui concerne le développement urbain au Cameroun.

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